Notre histoire c’est celle de trois générations passionnées par le vin et qui perpétuent la tradition au fil des époques.
L’arrivée de la première génération
La première génération, ou les grands-parents de l’actuel propriétaire, tout droit arrivés de Dordogne, étaient métayers. Cela signifie qu’ils se sont vus confier le soin de s’occuper du bétail et des vignes d’une propriétaire en échange, dans ce cas précis, de la moitié des recettes. Pendant ce temps-là, ils ont commencé à acquérir de leur propre chef une parcelle de vigne : Mondou.
La prospérité de la deuxième génération
La deuxième génération a graduellement succédé à la première. Leur fils, Jeannot, s’est marié en 1957, avec Jacqueline. Elle est alors devenue un nouveau membre de la métayerie. Ils ont ensuite fait le choix de poursuivre leur propre chemin en achetant à deux propriétaires les terrains pour construire leur maison et le futur chai, dans lequel seront ultérieurement stockés le vin et les bouteilles. En 1968, la famille emménage où se trouve le cœur actuel de la propriété : Le Gros Caillou, tout en restant métayers. Au milieu des années 1970, la propriétaire de la métayerie meurt entrainant ainsi l’indépendance de Jeannot et Jacqueline. Ils achètent alors une grande partie des parcelles qui constituent les 7 ha actuels aux héritiers de la propriétaire de la métayerie. C’est le début de l’aventure, avec dans un premier temps une vente exclusive aux négociants.
L’arrivée de la troisième génération dans l’aventure

Didier, Jeannot et Jacqueline
BEPC en poche, leur fils, Didier se dirige tout naturellement vers des études viticoles. Jeannot transmet alors son savoir progressivement à son fils, même après son diplôme. A la fin des années 1980, ils se sont associés. Dans les années 1990, Jeannot et Jacqueline ont pris leur retraite et ont confié leurs parcelles à leur fils qui verse un fermage (cela fonctionne comme une sorte de loyer, il leur verse une somme en échange de l’exploitation). Par conséquent, ils sont encore propriétaires des vignes.
Et, du haut de ses 91 ans, Jeannot surveille toujours le travail au chai, une véritable passion !